lundi 29 juin 2009

Dossier : Vaccins = Danger ??

Pourquoi un dossier sur le vaccin ? rg8ycdifna



En cette période où les alertes à la pandémie ce multiplie, du SRAS au H1N1, avec un battage médiatique record, il n'est pas imprudent de se poser quelques questions, ainsi nous avons décider de mettre les pieds dans le plat et de décortiquer ce sujet "piquant" !

notons qu'une recherche sur google intitulée : "les dangers du vaccin" nous donnera 424 000 réponses !

Quelques faits tout d'abord :

  • Le plus gros dossier "à charge" contre le vaccins est sans nul doute celui de l'hépatite B : rappel des faits :

en 1994, le Lancet (vol. 344) avait dénoncé : " La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes comme des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré. " Ainsi, contrairement à ce que l’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B sont officiellement reconnus et ne sont pas réservés à la France, mais chez nous, personne ou presque ne lit le Lancet.

Quatorze ans après la campagne nationale de vaccination contre l’hépatite B, les responsables de deux laboratoires ayant mis au point et commercialisé le vaccin ont été mis en examen pour " tromperie aggravée " Seuls trois pays ont vacciné en masse, la France, les États-Unis et l’Italie où le ministre italien de la santé a touché 600 millions de lires quelques mois avant qu’il ne rende la vaccination obligatoire dans son pays. Il a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, mais le vaccin a engendré des dégâts semblables aux nôtres.

Pour en savoir plus : lire cet article issu d'altermonde

  • Je vous invite à lire cet article de News Of Tomorow :

Vaccination - Rencontre avec un repenti (À lire !)


Est-il bien prudent de remettre en cause ce qui semble une avancée de la civilisation ?

Notons le cas du magasine nexus, le rappel des faits :

Le 19 juillet 2006, nous apprenions le refus de la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) de permettre à NEXUS (bimestriel alternatif - tirage : 23000 ex) de continuer à bénéficier du taux de TVA à 2,10 %, comme c’est le cas de l’ensemble de la presse d’information,dans le but de favoriser la pluralité de la presse.

Donnons la parole à David Dennery, directeur de publication de NEXUS :

"En ce qui concerne NEXUS, il ressort des pièces versées au dossier, et notamment des numéros 37 à 43, que cette publication, en contestant dans de nombreux articles les acquis positifs de la science, mettant en doute l’innocuité des vaccins, et partant, le principe même de la vaccination ou celui des greffes d’organes, est susceptible, si elle est lue au premier degré, d’inquiéter les esprits les plus fragiles et ne présente pas, de ce fait, le caractère d’intérêt général quant à la diffusion de la pensée requis par les textes." Créée en 1950 avec pour objectif de contribuer à la liberté d'_expression, la CPPAP, officiant au sein des services de Matignon, et à laquelle ne siège aucun scientifique, ne nous donne pas plus de détails sur le fondé de sa décision. Le problème reste que la médecine n’étant pas une science exacte, la remise en cause des acquis permet justement ses avancées. La presse se voit ainsi directement empêchée de jouer son rôle essentiel de critique et de contre pouvoir. Comment le débat d'idée peut-il avoir lieu si les opinions "différentes" sont administrativement évincées de la scène publique. Lorsque l'on connaît la part importante des laboratoires pharmaceutiques parmi les annonceurs de grands médias, on comprend l'absence de réactions défendant NEXUS chez les représentants de la presse siégeant à la CPPAP. Le journaliste scientifique se doit donc, s'il veut être accessible sur un marché très concurrentiel, d'être conforme aux principes de la médecine "officielle". Attaché à la liberté d'_expression, NEXUS se voit obligé de répercuter, à partir de septembre, sur son prix de vente la hausse de TVA, au risque de ne plus être compétitif avec les grands groupes de presse. Dormez tranquilles, braves gens. Que vos "esprits fragiles", qui ne connaissent que le "premier degré", ne s’inquiètent de rien, les praticiens et les experts, même s’ils reçoivent leurs informations du lobbie pharmaceutique pour lequel l’enjeu scientifique s'évalue en milliards d’euros, savent bien ce qui est bon pour vous.

Que dit la loi ?

En France, il ne peut exister d’obligation légale de vaccination.

Toute obligation serait anticonstitutionnelle : Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne".

Toute obligation serait contredite par le nouveau Code civil qui reconnaît le : "principe du respect de l’intégrité du corps humain".

Toute obligation serait en contradiction avec : L’article 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise que :
«Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes».

Toute obligation serait contraire aux : Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant :
- Information des Patients -
«Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés».

Toute obligation serait annulée d’office par la : Loi du 04 mars 2002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique :
«Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment».

Il appartient donc à chacun d’accepter ou refuser, librement, cet acte médical - contesté par une multitude de professionnels de la médecine - qu’est une vaccination.

Toute obligation de vaccination induit, pour tout opposant à cet empoisonnement, la notion de Résistance à l’Oppression (droit reconnu par la Constitution) et celle de Légitime Défense (qui ne limite pas le choix des moyens utilisables !)

Voici le reportage de france 5 intitulé : Silence ! on vaccine


Partie 1

Silence On Vaccine Part 1/4



Partie 2

Silence On Vaccine Part 2/4



Partie 3

Silence On Vaccine Part 3/4



Partie 4

Silence on vaccine Part 4/4

Dans le prochain article sur ce sujet nous aborderons plus en détail l'actualité de cet épineux sujet !
A SUIVRE donc ...

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